From cinematography with the great movies La Grande Bouffe by M. Ferreri (France/Italy) Tampopo by J. Itami (Japan) or The Cook, the Thief, His Wife & Her Lover by P. Greenaway (UK). Or in painting from The Last Supper by L. Da Vinci (Italia) to The Peasant Wedding by P. Bruegel (Nederland) or the Campbell’s Soup Cans by A. Warhol (USA).In literature too with Hunger by K. Hamsun (Norwegian), La Pomme de Terre by F. Ponge (France) and Chocolat by J. Harris (UK)In photography with Martin Parr, and to the Instagram foodies flooding the social media in the affluent world.In this day and age, food is as important as ever, and tragically still is a social marker of classes and origins.
From breast milk to the last meal, humans are not mean to go without food.

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Du cinema, avec les mémorables films La Grande Bouffe de M. Ferreri (France/Italie), Tampopo de J. Itami (Japon) ou Le Cuisinier, le voleur, sa femme et son amant de P.Greenaway (UK). En peinture depuis La Cène de L. Da Vinci (Italie) au Repas de Noce de P. Bruegel (Holland) en passant part les Campbell’s Soup Cans de A.Warhol (USA). Mais encore en littérature, avec La Faim de K. Hamsun (Norvège) ou La Pomme de terre de F. Ponge (France) au Chocolat de J.Harris (UK). En photographie, avec Martin Parr, jusqu’au déluge des “foodies” qui s’affichent sur Instagram et autres réseaux sociaux.La nourriture est à notre époque plus importante qu’elle ne la jamais était.  Et tragiquement elle reste un identifiant d’origines social et geographique. 
Depuis le lait maternel jusqu’au dernier repas, l’être humain n’est pas fait pour se passer de nourriture.